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le mercredi 2 decembre 2009 à 19h
à Troyes, au Cafe de la Gare,
a eu lieu un

Cafe-Debat :

En ces temps, ou nous sommes invites a positiver,

Dire non est-il negatif ?

Qu'en est-il de notre libre-arbitre ?






Voici donc une (bonne) partie des reflexions echangees lors de ce premier cafe-debat troyen...

En dessous vous trouverez la feuille de citations distribuee en debut de cafe-debat, puis des idees de themes pour de futur debat proposees par les participants.

Certains ont regrette que nous n'ayons pas pris le temps de conclure, d'autres que le sujet si foisonnant n'ait ete qu'a peine explore.
Alors si certains souhaitent continuer la reflexion, n'hesitez pas a nous contacter, et on pourra publier ici vos reflexions, et pourquoi pas creuser un jour dans un nouveau cafe-debat certains points evoques ici plus profondement...




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Dire non est-il negatif ?

Ou : Quelques reflexions echangees le 2 decembre 2009 au Cafe de la Gare a Troyes...



Une vingtaine de personnes reunies au cafe de la gare, un theme : "dire non est-il negatif", que trois heures n'ont suffi qu'a survoler tellement il etait riche... Voici des notes prises au vol, en esperant n'avoir pas trop deforme les pensees de chacun... Autant de pistes pour repartir dans d'autres discussions, reflechir, et pourquoi pas,
passer a des idees plus concretes ?




- Quelle est la place de la negation dans notre vie ?

- Est-ce qu'il faut un interdit ?

- Faut-il detruire pour reconstruire ? Dans un pays proche, j'ai assiste a une revolution : nombre de choses sont redevenues en partie presque comme avant parfois tres vite, parfois dans les mois ou annees qui ont suivi.

- Dans le milieu psy/tendance new-age, c'est bien vu "d'apprendre a dire non"

- Certains croient que chez l'enfant, la "periode du non" correspond au developpement du "je"

- Plus on sait dire non, plus on sait dire oui??

- Il y a meme un site internet qui s'appelle "direnon.com" (ils ont surement quelquechose a vendre a ceux/celles qui ne savent pas refuser?)

- Sur la formulation de la question (dire non est-il negatif ?) : on a envie de repondre oui d'ou un paradoxe qui invite a reflechir.

- Est-ce qu'on peut dire non a tout ?

- J'aime bien dire oui

- Dire non permet de maintenir son libre arbitre ou au contraire peut limiter les choix

- Dire non c'est bien mais en gardant une liberte de reflechir

- Je reflechis a ce que ca me fait quand on me dit non.

- Dire non, d'accord, mais jusqu'ou je vais dans l'action, qu'est-ce que je garde comme liberte en m'opposant a des choix de societe. Prise de conscience que demain ca peut etre termine (je peux mourir) donne envie de dire non a certaines choses.

- J'ai appris a dire non quand j'ai vu que ma sante deperissait. J'ai eu besoin de dire non. Je n'avais pas appris quand j'etais gamine.

- J'ai envie de dire non a des choses considerees comme positives : la vitesse (pouvoir aller vite), le confort poussé au maximum et vu comme un but, l'education et la sante "absolues".

- Je suis un observateur privilegie par mon metier, beaucoup de rencontres, possibilite de faire partager cette experience. Dans certains pays, la liberte de dire oui ou non n'existe pas. Ici on est en train de venir a ca.
L'echange et le dialogue sont toujours enrichissants.
"Dire non est-il negatif" serait un bon titre d'article, mais il faut aller plus loin : si on dit non, ca fait quoi ? Ca interesse quelqu'un ? Est-ce que j'accepte de travailler pour tel client ? Est-ce que j'accepte des commandes qui ne me plaisent pas ?
Le non induit une frustration : est-on capables dans nos cultures de gerer cette frustration a l'ere du "tout, tout de suite" ? On dit oui pour simplifier, pour etre dans le politiquement correct, pour eviter ces frustrations.
Non peut parfois signifier attendre, plus tard.
(Dans le cas d'une offre genereuse) Le succes peut entrainer une affluence de demandes qui vont produire une frustration chez ceux qui n'auront pas vu leur demande satisfaite. Le succes engendre alors des sentiments negatifs...
Les hommes politiques l'ont bien compris : ils amenent le sujet deux ans a l'avance, les gens ont la possibilite de dire non, puis ils laissent couver. Tout le monde en parle, ca macere, oui mais non... ca travaille, les gens se font a l'idee. Apres, le oui passe et on va meme au-dela du oui (exemple : tout le monde non seulement a un gilet jaune dans sa voiture, mais le place en vue sur son siege).

- On essaie de nous faire peur.. par exemple... pour ecouler les vaccins.

- Quand on nous impose quelque chose, aller plus loin redonne une impression de liberte, effet de surenchere.

- Dire non est usant, on se sent seul, oblige de se justifier, c'est fatiguant. On peut dire oui meme si on pense non, pour ne pas se fatiguer, du coup on va parfois au-dela.

- On se sent oblige mais en fait on n'est pas oblige. Je dis non tout le temps, depuis tout petit : je prends ce droit de dire non sans expliquer pourquoi. Le non oblige a trouver des solutions, c'est moteur : qu'est-ce qu'on fait avec ce non ? Ca pousse a inventer des solutions.

- Se dire qu'il va bien falloir faire face au non, reprendre le manche de sa vie est pour moi source d'energie.

- Dire non ne se fait pas forcement de facon verbale.

- Dire non a certain type de societe : faire un pas de cote. Pas un non de contradiction : c'est une position, on n'est pas dans la reaction. Se positionner, logique creative plutot que reactive. Ca me donne un autre rapport aux autres, a mon activite, qui me permet d'avoir un ailleurs. Pas seulement en paroles mais aussi en actes.

- On nous met des pressions enormes. Exemple : vaccination des enfants. On a un capital sante reduit par les vaccins et les medicaments.

- Tenir les gens par la peur pour les forcer a se faire vacciner.

- Image imposee : etre mince, avoir trente ans, mourir vieux... Est-ce qu'on a le droit d'etre malade et d'en mourir ?
Sur les medicaments, ce qui est important c'est le probleme du choix : ai-je le droit de choisir de vouloir me faire soigner ou non ?

- On n'a pas le droit de mourir, resultat, des vieux dans les maisons de retraites... vies dans de mauvaises conditions.

- Un proche a fait le choix de ne pas se faire soigner, jusqu'au suicide. La vie est un sursis a la mort. Il a fallut dire non a la famille (qui mettait de la pression pour l'obliger a se soigner), moi j'ai fait le choix de vivre.

- Je connais un livre qui fait le parallele entre les maladies et le comportement psychologique. Chacun peut faire ce choix de rechercher ce cote psychologique ou bien de se faire soigner.

- Un peu de bordel c'est peut-etre bien aussi...

- Je suis souvent gene que notre imaginaire nous amene dans le binaire. Dans le film "l'an 01", plutot que des pas en avant ou en arriere... on parle de faire un pas de cote. J'ai par exemple horreur du terme "la societe", ou de "on a le droit de". Il y a plein de micro-mondes qui se cotoient. Exemple, on parle de "patin a glace" a des personnes d'une autre culture, ils ne concoivent meme pas ce que ca peut etre, ca n'existe pas pour eux. Et c'est comme ca pour des centaines de notions.
Probleme d'imaginaires tres tres canalises. Dire oui ou non est tres reducteur. Je me sens souvent dans des ambi/multi/valences.
Ce n'est parfois pas vecu pareil de dire non aux adultes et de dire non aux enfants. J'ai eleve mes enfants sans leur dire non, en cherchant toujours a leur expliquer. On veut nous persuader que on a besoin d'avoir des lois ou de s'y conformer : je n'y crois pas du tout, (peut etre, à l'inverse, juste des modes de fonctionnements, de vies, definis vraiment en commun).
La non-violence : on a envie de l'appliquer, mais cela ne suffit pas toujours, des fois la non-violence peut etre de la lachete. Gandhi: "Si le choix etait entre la lachete et la violence, je prefererais la violence".
Est-ce que des fois les choses ne sont pas infiniment plus complexes (que oui ou non) ?

- Je prefere dire non a dire oui, c'est plus marrant. Il faut expliquer, c'est plus marrant.
- Moi j'ai surtout beaucoup envie de dire STOP a certaines choses. On me dit que ce n'est pas positif. Je pense qu'on peut dire non en etant positif. Il y a le pouvoir, le contre pouvoir, et l'anti pouvoir : on peut etre creatif. (le cadeau du jour de christian noorbergen.. en plus de son sms d'encouragement, pendant la seance!): Alain : "Penser c'est dire non"
... quand on pense, on se confronte a des idees presentes dans notre tete et on les refute.
Ce qui me manque c'est le cote creatif en images

- Ce qui m'interesse dans cette question, c'est la question d'autonomie. Choix individuels : comment ca se traduit dans l'espace public. Quelles sont les puissances connues? Que peut-on tisser au niveau local. Plutot chercher a dire oui.

- J'aime bien que le oui soit oui. Comment l'incarner quand c'est oui. Comment l'incarner quand c'est non. De Gaulle a su dire non, partir en Angleterre, non a l'armistice, a la collaboration. Ghandi a dit non : pouvoir assumer son non.
Il y a une partie de moi qui dit oui, une partie qui dit non : je suis bien embete avec ces deux parties en moi qui se battent.
Je considere de multiples facettes en surface et en profondeur, pour des choses parfois sans importance, alors que je peux etre tres decide pour des choses plus importantes.

- Moi j'ai du mal a dire non, surtout aux gens. Je me coupe en quatre pour aider les gens (les salaries de mon entreprise) : je n'aime pas leur dire non. Mais pas de probleme pour dire non a un reglement.

- Dire non est aussi une facon de dire oui : dire non mais avec une pensee positive.

- S'opposer peut etre vraiment positif ( ex: le nucleaire), cela depend vraiment beaucoup de la maniere de le faire?

- On a un reflexe de dire non qui oblige a reflechir sur soi-meme, a interroger le non. Souvent on est un peu coinces.
La facon dont la question est posee peut etre contraignante.

- On aurait plutot tendance a dire "oui" mais "cause toujours"

- On est dans un schema democratique ou il y a eu un oui (par les elections) a un moment donne. Il faut bien mesurer les consequences d'un rejet apres avoir dit oui.

- Dire non permet de temporiser.

- Dans le doute, moi je ne dis ni oui ni non mais "attends, il faut que je reflechisse". Je reponds plus tard.

- Le oui democratique me parait sans commun rapport avec notre vie quotidienne : on dit oui sans savoir a quoi on dit oui.

- Non peut etre aussi la resistance a quelque chose. Droit ou pas, si j'ai envie de dire non, j'y vais.

- L'important n'est pas de parler mais de se positionner. On peut dire non et l'incarner par son action, sinon on entraine les autres.

- Il y a un article de la declaration des droits de l'homme qui dit que notre devoir est de passer a l'insurrection contre l'injustice.

- La societe essaie d'utiliser notre peur pour nous faire dire oui, mais aussi de nous faire croire que ca ne sert a rien de dire non (dire non par des greves, etc)

- On nous distrait, avec des themes journalistiques, des lois votees en particulier pendant les vacances

- Coluche disait que les romains amusaient le peuple avec les jeux, c'est encore pareil aujourd'hui.

- Seneque : "Tu cesseras de craindre en cessant d'esperer". Arreter d'esperer, c'est dans l'action : exemple la parole d'un resistant "A un moment donne je n'ai pas pris de decision, j'y suis alle".

- Une femme a Berlin, dans le film sur "les Justes" de Halter: "C'est aux autres qu'il faut demander pourquoi ils n'ont rien fait"

- Le courage c'est depasser sa peur. Il n'y a rien de pire que les gens qui sont detenteurs de la verite absolue.

- On nous a beaucoup dit : faites confiance aux specialistes. Quand on ose la ramener, on peut culpabiliser, se dire "pour qui je me prends".

- L'education nous a appris a rester dans les regles. Pour devenir adulte j'ai du apprendre a dire non et assumer ce non et accepter qu'on me dise non. Comme ca on a pu discuter et ca devient constructif.

- Parfois on est oblige de dire oui ou non sans etre d'accord (au boulot).

- Il y a des personnes "casees", qui font toute leur carriere dans un service et n'en bougeront pas. J'ai la chance d'avoir ete polyvalente. Je me suis retrouvee au chomage sans regret : je ne supportais pas d'etre coincee dans une routine.

- Dans le metier que je fais (enseignante) je suis obligee de dire oui ou non, mais j'ai la possibilite de changer les choses par ce que je transmets aux enfants. On peut faire des actions benefiques pour eux plus tard.

- On voit tres peu d'engagements de nos jours.

- J'ai dit non a des personnes a qui j'avais dit oui jusque la (dans le cadre d'un benevolat) pour de l'aide, parce que je trouve que ca cree une dependance de la personne aidee. Je propose maintenant plutot des echanges par le SEL. Mais dire non provoque parfois des reactions desagreables.


Comme plusieurs personnes ne savent pas ce qu'est le SEL, on fait une petite parenthese de "pub" pour le SEL (le fonctionnement, les permanences du vendredi en fin de journee au 68b jules Guesde, l'auberge espagnole de dimanche 6 decembre et la suivante dimanche 10 janvier a la Fol, rue de la mission. http://selde3.fr et du coup aussi pour l'AMAP.


- Un chef d'emmaus en inde disait "Il ne faut pas oublier que la main de celui qui donne est au dessus de celle de celui qui recoit"

- Dans internet, si on recherche sur le theme du non, on trouve que c'est tres bien vu d'apprendre a dire non. Il y a plein de propositions de stages genre developpement personnel sur ce sujet.

- On peut ignorer facebook et meme sur facebook, on peut "ignorer" les invitations.

- C'est un bon exemple d'ambivalence : Je trouve qu'internet est une drogue mais en ai vendu pendant trente ans... Facebook, une horreur totale pire que tout ce qu'on pouvait prevoir : Kafka est chez vous, mais parfois nous l'avons quand meme utilise pour faire de la pub, par ex. pour le cafe debat, en essayant quand meme de ne toucher que des personnes "deja droguees", pas faire de nouveaux drogues... Pour le moment facebook garde pour toujours les traces, n'efface rien, meme si toi tu te retires, ou essaie d'enlever....

- Normalement on devrait avoir acces aux donnees.

- Mais ce ne sont pas des societes francaises, elles font ce qu'elles veulent.

- Internet peut etre un acces aux connaissances, cote super genial, mais on y trouve aussi n'importe quoi.

- Quand je suis placee face a un choix entre deux choses tentantes, mon premier reflexe est de penser que c'est impossible de choisir, et puis en reflechissant on trouve comment faire les deux.

- Qui ici s'est fait ou pense se faire vacciner ?
... apparemment personne, une personne dit qu'elle n'a pas encore decide.

- Machiavel dit "Qui controle la peur des gens maitrise leur ame". Un exemple j'etais sur un parking de supermarche avec une parka tissu militaire et une casquette, a attendre quelqu'un, j'ai senti que les gens qui passaient avaient peur, ils ne me regardaient pas. Ma femme a quitte la region parisienne pour fuir cette violence, la peur, les gens qui baissent les yeux, qui ne veulent pas parler a leur voisins, mais on retrouve cette peur ici a troyes, aube !

- On peut faire peur meme habille autrement...

- C'est logique d'avoir peur parce qu'on a des prejuges

- Moi ca m'arrive de passer sans dire bonjour.

- Oui, mais quand on est arrive, tu m'as regarde. J'ai l'habitude de regarder les gens, ce qu'ils regardent. Si quelqu'un evite ton regard, ca se sent.

- Des gens considerent le regard comme une agression

- Certains profs n'aiment pas qu'on les regarde. Ils disent que c'est impoli de fixer quelqu'un dans les yeux.

- Dans le metro on voit tout le monde silencieux et baisser les yeux

- Le fait que les gens aient peur est du au fait qu'ils ne se connaissent pas.







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Quelques citations en lien avec le sujet du cafe :

"Penser, c'est dire non". Alain

"La dictature, c'est "ferme ta gueule", et la democratie, c'est "cause toujours"". Woody Allen

"Si tu te sers de la liberte en echange d'autre chose, comme l'oiseau, elle s'envolera." Gao Xingjian.

"Je me revolte, donc je suis." Albert Camus

"Reflechir : c'est bien. Philosopher : c'est mieux. Agir : est-ce possible ?" Michel Gueritte

"Celui qui controle la peur des gens devient le maitre de leurs ames". Machiavel

"Le fait que les hommes tirent peu de profit des lecons de l'Histoire est la lecon la plus importante que l'Histoire nous enseigne." Aldous Huxley

"Les consequences de ce qu'on ne fait pas sont les plus graves." Marcel Marien

"[...] une pensee qui ne renferme pas une legere contradiction n'est pas tout a fait convaincante." Carl Gustav Jung

"La vie est plus belle que la prudence." Abbe Pierre

"Si l'on m'apprenait que la fin du monde est pour demain, je planterais quand meme un pommier." Martin Luther

"Ce n'est que lorsque tu es poursuivi que tu deviens agile." Khalil Gibran

"Si je marche plus droit qu'un autre, c'est que je boite des deux pieds." Gustave Nadaud

"L'homme ne se construit qu'en poursuivant ce qui le depasse." Andre Malraux

"Ce qui est contraire est utile et c'est de ce qui est en lutte que nait la plus belle harmonie ; tout se fait par discorde." Heraclite

"Il est important pour chacun d'oser au moins rompre en un point quelconque le cercle dans lequel la prudence et le respect des usages nous enferment." Michel Leiris

"J'ai toujours prefere la folie des passions a la sagesse de l'indifference." Anatole France

"A vouloir etouffer les revolutions pacifiques, on rend inevitables les revolutions violentes." John Fitzgerald Kennedy.

"Parmi toutes les mesures que l'on pourrait prendre d'un homme ou d'un peuple, l'une des plus revelatrices serait celle de sa force de refus." Georges Roditi

"La liberte est une peau de chagrin qui retrecit au lavage de cerveau". Henri Jeanson.

"Je m'avance vers celui qui me contredit." Montaigne.

"Tu cesseras de craindre en cessant d'esperer." Seneque.

"A mesure qu'on s'avance dans la vie, on s'apercoit que le courage le plus rare est celui de penser." Anatole France.

"Nous vivons avec des idees qui, si nous les eprouvions vraiment, devraient bouleverser toute notre vie." Albert Camus.

Et pour la fin :
Hier est du passe. Demain appartient au futur. Aujourd'hui est un cadeau; c'est pourquoi on l'appelle le present Auteur inconnu

"L'amour se passe de cadeaux, mais pas de presence." Felix Leclerc.




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Des idees de prochains themes proposees par les participants :

- Faut-il eduquer ? Faut-il soigner ?
- Les religions dans leur immensitude, ce que les gens en ont fait.
- N'importe quoi si c'est sous forme d'interrogation !
- Travaille-t-on pour le plaisir ou pour des raisons economiques ?
- A quoi bon des cafes philo ?
- Agir est-ce possible ?
- Comment glissent (s'inter-relationnent) les "mondes" ?
- Travailler pour quoi faire ?
- Le don. Acte gratuit ?
- Benevolat/echange ?



à bientot dans la vie sans écrans...